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2 mai 2006

Poèmes divers

Fée de la nuit

Douce et sans bruit

Tu fais des merveilles.

Tu es sans doute la plus jolie,

Il n’en existe nulle autre pareille.

La lune ronde et laiteuse reflète

Sur ton lac, une généreuse ondée…

Qui vient silencieusement s’échouer nette

Sur ta petite jetée ou brûlent les feux-folets.

Nul cri, nul soupir, nul bruits…

Tout le petit peuple est endormi.

Tu œuvre à conter, à poétiser

La nature des rêves de la nuitée.

De chaques êtres et esprits

Qui œuvre pour la nature,

Pour le cycle de la saine vie

Jouissant sur cette force pure.

Tu te glisses au travers des ombres

Ta chevelure soyeuse et légère inonde.

Une légère brise se lève à peine ressentie,

Très peu savent ta venue et que tu es partie.

Oizofu 2006

Corps Divin

Corps divin,

Si faible, si parfait, si généreux !

Tu nais de la terre par le vœu des cieux.

Corps divin

Tu es si beau, gracieux !

Qu’on ne saurait en détourner des yeux.

Tu as été créer par un rêve pieu de dieu.

La pitié que ton esprit vagabonde seule en ce lieu.

Un allié, lui à été donné une armure de preux

Pour suivre ta quête car un et un font deux.

Garde le saint et fort avec ton esprit.

Quelques soit les difficultés de la vie !

Sa forme correspond à tes capacités,

Et en fonction du chemin que tu dois emprunter.

N ‘aie nul craintes ou honte s’il semble

Trop disgracieux ou trop épanoui…

Qu’importe les pensées qui flambent ;

C’est ton meilleur ami.

Ce corps divin,

Apprends-le à l’aimer, à en prendre soin.

Et à te concentrer sur ton vrai chemin.

Notre différence, fait note force,

Notre chance !

Se sentir bien dans notre peau d’écorce

Et rayonner de toute notre âme !

Que sont les canons de beauté ?

A part une illusion donnée

D’une coquille vide

Sans âme et si fragile…

Car celui qui n’as pas confronté

son corps au temps et aux disgrâces,

celui-là ne peut connaître la paix

et les batailles menées par l’impasse.

J’encaisserais les coups,

Les maladies s’il le faut !

Jusqu’au monde d’en bout

Pour que mon rêve aille au très haut !

Car si les corps sont si différents,

C’est pour correspondre vraiment

A nos différentes cultures et caractères

Et de l’assumer de cette manière.

Pour vivre notre histoire sacrée.

Oizofu 2006

Si les mots….

Si les mots pouvaient porter les images

Dans ton cœur remplie de sagesse, de pages

Si les sons pouvaient amener la mélodie

Qui sortent de ta bouche à peine évanouie

Si ton cœur peut crier l’amour

Alors qu’il n’y a pas de mot à dire

Et que le chant de ton âme lourde

Ne peut qu’émaner un soupir

Observe calmement et laisse toi t’inspirer par la vie

Si le sentier de tes nombreux pas

Se dérobe au moindre cailloux

Et que tu tombe de ta vie las

A t’en rendre fou

Si le ciel s’embrase et rougeoie

Au moindre de tes regards

Et ne pas relever la tête de sang froid

Quand tu t’évade, quand tu pars

Pose toi et réfléchi avant tout action

Si l’eau de ton absolution

Ne peut se contenir à un vase

Et que ta rébellion

Ne peut faire table rase

Et que ton  frêle corps se meut

Sans l’ordre de ta première pensée

Et qu’il éclate sans prendre même

Le temps de devenir fort et d’être aimé

Retiens toi et use de patience

Ainsi pose toi simplement la question :

Que puis-je faire pour m’améliorer ?

La vie est faites de règles, auxquelles nous devons souvent nous plier contre notre volonté.

Contre les désirs de notre âme et qui viennent bafouer nos inspirations intimes.

Nos chemins sont souvent erronés par manque de temps, de compréhension et de perception.

De ce fait nous nous enchaînons nous-mêmes progressivement par nos pensées et nos actes polluées, par une vie

qui semble ne plus rien nous offrir à chacun de nos niveaux, en apparence.

Détrompez-vous…

Sous chaque pied foulé sur cette terre, une graine en stase attends votre feu vert pour pousser selon vos souhaits.

Nous avons tous la capacité de changer les choses et de nous rendre meilleur.

A nous de voir  et de ne pas manquer les occasions qui se présentent à nous pour nous se donner haut-delà de nos limites et de notre cœur.

Oizofu 2006

Rencontre avec Lui.

Un jour , la divinité me créa et me dis , petite flamme, vas !

Qui suis-je, que faire ? la lumière environnante est trop forte,

Je ne peux voir qui je suis, mon moi…

Et si j’allais faire un stage en bas derrière cette porte ?

Cette dernière portait le nom « humanité »

Il y avait plusieurs formules et pour tout les goûts !

Cela avait l’air excitant de sombrer et puis de s’élever

Dans les méandres de la difficulté et jusqu’au cou !

Mais…à la finalité, j’aurais…un nom ?

Saurais-je qui je suis au travers de ces expériences ?

Il me faut donc des faiblesses pour apprécier le pont

Qui mènent à la qualité. C’est une évidence !

Et que dire de la haine ? Sans elle,

Pas d’amour qui vaille ?

La peur en ferait partit , mais elle,

Bouge, nous fait avancer de taille.

L’esprit, magnifique, intermédiaire entre

L’âme et le corps, j’en suis le centre.

Ho anges éternels, guides, amis de bontés,

Rassurez-moi, protégez-moi, créatures ailées.

La divinité est bonté et amour, elle apprends à travers nous.

Quand nous aurons compris qui sommes-nous,

Nous reviendrons à elle pour célébrer l’unité.

Son amour éternel pour l’éternité.

Oizofu 2002-2005

Mon ange

Si précieux gardien que l’on ignore souvent

Tu glisse à mon oreille de sages conseils

Depuis ma toute petit naissance d’enfant

Pour me guider à travers monts et merveilles

Tu es ma muse quand il le faut, en crise

Ta présence et ta chaleur ne saurait te remplacer.

Tes messages délivrés sont comme la brise

Pleine d’intuitions, d’inspirations et de mots secrets…

Douces attentions et d’agréable compagnie

Je peux te prier quand j’en ressens l’envie te quémander

Tu fais tes œuvres parfois et décider de te taire aussi

Douce amie aux chansons douces et rythmées

Je t’aime telle que tu es à veiller

Ta présence ne saurait te remplacer

Tes caresses et tes messages

M’aident à tourner la page

Reste à mes côtés quand je rie ou souffre

Nous sommes indissociables

C’est ensemble que nous œuvrons dans le souffle

Pour notre quête initiale

Oizofu 2006

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