Poèmes divers
Douce et sans bruit
Tu fais des merveilles.
Tu es sans doute la plus jolie,
Il n’en existe nulle autre pareille.
La lune ronde et laiteuse reflète
Sur ton lac, une généreuse ondée…
Qui vient silencieusement s’échouer nette
Sur ta petite jetée ou brûlent les feux-folets.
Nul cri, nul soupir, nul bruits…
Tout le petit peuple est endormi.
Tu œuvre à conter, à poétiser
La nature des rêves de la nuitée.
De chaques êtres et esprits
Qui œuvre pour la nature,
Pour le cycle de la saine vie
Jouissant sur cette force pure.
Tu te glisses au travers des ombres
Ta chevelure soyeuse et légère inonde.
Une légère brise se lève à peine ressentie,
Très peu savent ta venue et que tu es partie.
Oizofu 2006
Corps divin,
Si faible, si parfait, si généreux !
Tu nais de la terre par le vœu des cieux.
Corps divin
Tu es si beau, gracieux !
Qu’on ne saurait en détourner des yeux.
Tu as été créer par un rêve pieu de dieu.
La pitié que ton esprit vagabonde seule en ce lieu.
Un allié, lui à été donné une armure de preux
Pour suivre ta quête car un et un font deux.
Garde le saint et fort avec ton esprit.
Quelques soit les difficultés de la vie !
Sa forme correspond à tes capacités,
Et en fonction du chemin que tu dois emprunter.
N ‘aie nul craintes ou honte s’il semble
Trop disgracieux ou trop épanoui…
Qu’importe les pensées qui flambent ;
C’est ton meilleur ami.
Ce corps divin,
Apprends-le à l’aimer, à en prendre soin.
Et à te concentrer sur ton vrai chemin.
Notre différence, fait note force,
Notre chance !
Se sentir bien dans notre peau d’écorce
Et rayonner de toute notre âme !
Que sont les canons de beauté ?
A part une illusion donnée
D’une coquille vide
Sans âme et si fragile…
Car celui qui n’as pas confronté
son corps au temps et aux disgrâces,
celui-là ne peut connaître la paix
et les batailles menées par l’impasse.
J’encaisserais les coups,
Les maladies s’il le faut !
Jusqu’au monde d’en bout
Pour que mon rêve aille au très haut !
Car si les corps sont si différents,
C’est pour correspondre vraiment
A nos différentes cultures et caractères
Et de l’assumer de cette manière.
Pour vivre notre histoire sacrée.
Oizofu 2006
Si les mots….
Si les mots pouvaient porter les images
Dans ton cœur remplie de sagesse, de pages
Si les sons pouvaient amener la mélodie
Qui sortent de ta bouche à peine évanouie
Si ton cœur peut crier l’amour
Alors qu’il n’y a pas de mot à dire
Et que le chant de ton âme lourde
Ne peut qu’émaner un soupir
Observe calmement et laisse toi t’inspirer par la vie
Si le sentier de tes nombreux pas
Se dérobe au moindre cailloux
Et que tu tombe de ta vie las
A t’en rendre fou
Si le ciel s’embrase et rougeoie
Au moindre de tes regards
Et ne pas relever la tête de sang froid
Quand tu t’évade, quand tu pars
Pose toi et réfléchi avant tout action
Si l’eau de ton absolution
Ne peut se contenir à un vase
Et que ta rébellion
Ne peut faire table rase
Et que ton frêle corps se meut
Sans l’ordre de ta première pensée
Et qu’il éclate sans prendre même
Le temps de devenir fort et d’être aimé
Retiens toi et use de patience
Ainsi pose toi simplement la question :
Que puis-je faire pour m’améliorer ?
La vie est faites de règles, auxquelles nous devons souvent nous plier contre notre volonté.
Contre les désirs de notre âme et qui viennent bafouer nos inspirations intimes.
Nos chemins sont souvent erronés par manque de temps, de compréhension et de perception.
De ce fait nous nous enchaînons nous-mêmes progressivement par nos pensées et nos actes polluées, par une vie
qui semble ne plus rien nous offrir à chacun de nos niveaux, en apparence.
Détrompez-vous…
Sous chaque pied foulé sur cette terre, une graine en stase attends votre feu vert pour pousser selon vos souhaits.
Nous avons tous la capacité de changer les choses et de nous rendre meilleur.
A nous de voir et de ne pas manquer les occasions qui se présentent à nous pour nous se donner haut-delà de nos limites et de notre cœur.
Rencontre avec Lui.
Un jour , la divinité me créa et me dis , petite flamme, vas !
Qui suis-je, que faire ? la lumière environnante est trop forte,
Je ne peux voir qui je suis, mon moi…
Et si j’allais faire un stage en bas derrière cette porte ?
Cette dernière portait le nom « humanité »
Il y avait plusieurs formules et pour tout les goûts !
Cela avait l’air excitant de sombrer et puis de s’élever
Dans les méandres de la difficulté et jusqu’au cou !
Mais…à la finalité, j’aurais…un nom ?
Saurais-je qui je suis au travers de ces expériences ?
Il me faut donc des faiblesses pour apprécier le pont
Qui mènent à la qualité. C’est une évidence !
Et que dire de la haine ? Sans elle,
Pas d’amour qui vaille ?
La peur en ferait partit , mais elle,
Bouge, nous fait avancer de taille.
L’esprit, magnifique, intermédiaire entre
L’âme et le corps, j’en suis le centre.
Ho anges éternels, guides, amis de bontés,
Rassurez-moi, protégez-moi, créatures ailées.
La divinité est bonté et amour, elle apprends à travers nous.
Quand nous aurons compris qui sommes-nous,
Nous reviendrons à elle pour célébrer l’unité.
Son amour éternel pour l’éternité.
Oizofu 2002-2005
Si précieux gardien que l’on ignore souvent
Tu glisse à mon oreille de sages conseils
Depuis ma toute petit naissance d’enfant
Pour me guider à travers monts et merveilles
Tu es ma muse quand il le faut, en crise
Ta présence et ta chaleur ne saurait te remplacer.
Tes messages délivrés sont comme la brise
Pleine d’intuitions, d’inspirations et de mots secrets…
Douces attentions et d’agréable compagnie
Je peux te prier quand j’en ressens l’envie te quémander
Tu fais tes œuvres parfois et décider de te taire aussi
Douce amie aux chansons douces et rythmées
Je t’aime telle que tu es à veiller
Ta présence ne saurait te remplacer
Tes caresses et tes messages
M’aident à tourner la page
Reste à mes côtés quand je rie ou souffre
Nous sommes indissociables
C’est ensemble que nous œuvrons dans le souffle
Pour notre quête initiale